Laisse-moi te traverser, Laisse-moi te faire trembler, Laisse-moi de faire crier, Laisse-moi te faire bouger, Laisse-moi te faire convulser, Laisse-moi te faire pleurer, Laisse-moi t’apaiser, Laisse-moi te libérer, Laisse-moi te montrer que je suis ton allié, Laisse-moi te montrer que je suis sacrée.
4 conseils précieux pour une meilleure circulation d’énergie chez soi (et en vous !)
Nous rentrons dans l’hiver et la saison nous invite au bilan et au dépouillement pour préparer la nouvelle année.
J’avais donc envie de vous donner quelques petits conseils Feng Shui efficaces pour vous aider à vous alléger et faire circuler l’énergie chez vous, car votre habitat est la manifestation physique de votre conscience et de votre vie aujourd’hui :
Libérer l’espace ! Quand vous rentrez chez vous et dans les pièces à vivre, comment circule l’énergie ? Circule-t-elle librement ou est-ce que c’est encombré ? Libérez les passages (couloirs, portes et fenêtres), pour que rien n’entrave la libre circulation de l’énergie. Un passage bloqué représente de l’énergie bloquée et coincée dans votre corps. En faisant de la place dans votre maison, vous faites de la place dans votre corps et votre esprit. 🌀
Libérez-vous du vieux, du pesant, des souvenirs douloureux : jetez ou donnez chaque objet qui vous rappelle un mauvais souvenir, ou une personne qui laisse une empreinte négative en vous (un.e ex, une vieille tante acariâtre…😅). En gardant l’objet, vous gardez la charge énergétique liée à la situation / à la personne. Même si l’objet est cher ou « beau », si sa charge énergétique est négative, c’est elle qui prime chez vous.
Inutile de vous dire de donner les livres qui ne vibrent pas (par exemple sur la Guerre, même si c’était le livre de papi !) et de jeter les papiers administratifs dont vous n’avez plus besoin.
De même pour les photos affichées / images / tableaux chez vous. Demandez-vous si vous êtes toujours en accord avec l’énergie de l’image et des personnes représentées. Que représente ce cadre pour vous, dans quel état d’esprit étiez-vous quand vous l’avez acheté ? Que vibre t-il aujourd’hui comme énergie quand vous vous y reliez ?
Voici déjà 4 conseils simples mais qui peuvent considérablement changer l’énergie de votre habitat si vous y mettez de la conscience.
Elle m’a dit : « Je m’en souviendrai toute ma vie ».
C’était il y a 2 semaines pendant mon dernier module de formation avec François Breton.
La fin d’un an et demi de formation qui m’a tellement apporté.
Qui a chamboulé ma vie à jamais.
A condition d’être prête.
Et je l’étais.
Ce que j’ai reçu est inestimable et innommable.
C’est d’ailleurs pendant le 2e module l’année dernière que j’ai reconnecté à la danse.
Une phrase qui a tout fait basculer de la part d’un de ses assistants, pendant un exercice.
« Mai-Lan, tu as quelque chose avec la danse, ton énergie créatrice s’active quand tu danses ».
Effondrement. Pleurs.
Silence du groupe.
Mon âme sait que c’est juste.
La suite, vous la connaissez…enchaînement de synchronicités qui m’amènent sur le chemin de Fabienne Courmont et de la danse de l’Etre à laquelle je me forme depuis un an.
Une évi-danse.
Je suis à ma place.
Et cette envie depuis, qui déborde de moi de transmettre à ma manière ce que je reçois, avec ma couleur, ma personnalité, mon expérience de l’accompagnement, dans ce que j’ai nommé « la Danse Intérieure ».
Alors lors de ce dernier module de formation avec François, certains de mes camarades m’ont demandé d’animer un atelier de Danse intérieure.
Un camarade me dit « je ne sais pas danser ».
Et à ça, je lui réponds : « tu n’as pas à savoir danser. Viens essayer, tu seras peut-être surpris. »
Je prévois 50 mn d’atelier.
Je leur fais vivre une vague d’émotion et de sensations.
Et moi avec.
Je ne sais pas guider sans participer.
Comme si ma danse venait soutenir, aider, accompagner.
Puis, pendant une danse, une personne sort de la salle en pleurant, me fait signe qu’elle revient.
J’en vois une autre, presque immobile les yeux fermés la tête vers le ciel.
Les autres dansent les yeux fermés, le sourire aux lèvres.
Fin de l’atelier.
Le moment du partage.
Celui qui « ne savait pas danser » me dit « whaou mais c’est ça la vraie danse! Ça s’est fait tout seul! »
Celle qui était partie pendant quelques minutes me confie : « C’est incroyable, je viens de libérer une vieille mémoire… »
Et celle qui avait fait la dernière danse immobile, nous partage :
» c’est la première fois de ma vie que je sens le divin dans mon corps. Je me souviendrai de cette expérience toute ma vie ».
Honnêtement, ces retours me dépassent et pourtant, je ne peux que constater qu’à chaque atelier ou stage que j’anime, il s’y passe des choses très fortes.
Et d’ailleurs, je ne vous dirai pas qu’une des participantes à mon dernier stage a vécu un éveil à son retour de stage, vous ne me croiriez pas! 😅
Raz le bol d’être gentil.le ? (ceci n’est pas une invitation à la violence 😅)
Est-ce que ça vous est déjà arrivé d’en arriver à un point de saturation où vous n’avez plus envie de faire des efforts pour les autres ?
Plus envie d’être sympa, serviable, généreux, souriant.
Comme si une voix en vous, avait envie de tout envoyer péter !!!
Comme si elle hurlait « J’en ai marre d’être gentil.le !!!!!!!!! »
Je ne sais pas toi , mais moi oui !
Et d’ailleurs, je vous l’ai partagé un peu cet été lors de mon épisode « les compromis ça suffit ».
Et c’est trèèèès souvent le cas de mes coachés.
D’où vient ce raz-le-bol ?
On aurait tendance à croire que les problèmes, ce sont les autres qui abusent de notre gentillesse.
Comment dire…
Non, le problème, c’est nous.
C’est la part de soi que j’appelle « la bonne petite fille/le bon petit garçon » qui veut faire plaisir à qui d’après vous ?…
Oui, inconsciemment à papa et maman. 🙍♀️🙍♂️
Parce que nous n’avons pas toujours reçu l’amour inconditionnel de nos parents, lorsqu’on devient adulte, on va faire perdurer le comportement de la « bonne petite fille qui doit faire TOUT comme il faut : être polie, sympa, souriante, serviable, dévouée etc » dans nos relations (valable pour les hommes mais la flemme de tout accorder au masculin) 😵
Sauf que dans ce cas, nous n’agissons pas à partir d’un vrai élan de générosité mais par obligation.
On se force et on ne s’écoute pas.
On ne respecte pas ses vrais besoins, qui vont parfois à l’encontre de ce que « devrait faire la bonne petite fille ».
Alors un jour, on craque. 👹
Et on n’a plus du tout envie de faire des efforts pour les autres parce qu’on a besoin de retrouver un équilibre en apprenant à se mettre en priorité et oser dire non.
On peut passer par une phase où on passe pour « l’égoïste de service » parce qu’on se met à dire non à tout et à tout le monde.
Ca a été mon cas.
Et j’ai dû passer par cette phase pour retrouver mon équilibre.
Aujourd’hui, je me sens plus libre dans mes oui et mes non.
Alors si toi aussi tu passes par cette phase , c’est une bonne nouvelle !
Le changement est en cours !
Vers plus d’écoute et de respect de toi.
Paradoxalement, tu pourras être sincèrement gentil.le quand tu te seras permis de ne pas toujours l’être ! (aux yeux des autres)
La semaine dernière je vous annonçais le basculement des « Guerriers Pacifiques » à « Mai-Lan Ripoche ». Ce pas-sage a vraiment été initiatique pour moi, car à la fois libérateur et en même temps, la sensation de faire un grand saut dans la vie (versus dans le vide). C’est aussi une page qui se tourne, un deuil à faire. Mon corps a eu besoin de digérer et d’intégrer : je me suis retrouvée le dos bloqué et avec une grosse migraine. Et je sais que quand je me bloque le dos, généralement c’est au moment où je lâche vraiment ! J’ai alors pris le temps de me retourner et de regarder tout le chemin parcouru ces dernières années. Et whaou, quel chemin ! Qui l’eut cru ! Les Guerriers Pacifiques m’ont permis de prendre ma place, de m’affirmer, de prendre confiance en moi. Ca été un pilier, un phare. J’ai tellement de gratitude pour ces dernières années et cette « marque » qui m’a tant fait grandir ! (cf mes premières vidéos 😅😅😅) Et lorsque j’observe tous les rêves que j’ai réalisé depuis le lancement de mon activité, il y a plus de 10 ans, et particulièrement depuis 2016, année où je me suis lancée à 100% en tant que coach, j’en reviens au même constat : Chaque rêve réalisé a commencé par une autorisation.
Je me suis autorisée à me former au coaching à 23 ans alors que tout le monde me disait que j’étais trop jeune.
Pour ma première conférence devant un large public, je me suis autorisée à candidater lors d’un concours et à gagner ma place sur scène.
Je me suis autorisée à écrire à Martin Latulippe pour intervenir sur la scène de son évènement à Paris.
Je me suis autorisée à tout plaquer à Paris pour venir vivre dans le sud de la France (au soleiiiil !)
Je me suis autorisée les voyages de mes rêves (et je n’ai pas fini).
Je me suis autorisée à écrire dans mon journal intime à mes 20 ans : « un jour, je serai une référence dans le développement personnel et je serai heureuse dans tous les domaines de vie ».
Je me suis autorisée à animer des ateliers de danse consciente alors que je ne suis pas « danseuse ».
Je me suis autorisée à réserver le lieu de stage que j’avais repéré il y a des années…
Et je continuerais à m’autoriser à rêver, essayer, échouer, réussir. Et toi, quels rêves as-tu ? Peux-tu t’autoriser à ce que ce soit vraiment possible et quelle petite action peux-tu poser pour le réaliser ?