21 principes pour être heureux selon « Le moine qui vendit sa Ferrari »
« Le moine qui vendit sa Ferrari » écrit par Robin S. Sharma est un des livres qui m’a le plus marqué à mes débuts dans le développement personnel. Il regorge de conseils pratiques pour mener une vie en cohérence avec ses valeurs.
Voici donc un résumé des grands principes de cet ouvrage pour devenir un guerrier pacifique 🙂
21 principes pour construire son bonheur
1) Vider sa tasse
Si nous voulons apprendre de nouvelles choses (nouvelles croyances, nouveaux comportements, nouvelle façon de voir les choses), il est important de commencer par « vider notre tasse », autrement dit, par nous débarrasser de ce qui nous encombre et nous limite en terme de croyances (limitantes), façon de faire et façon d’être.
2) Soigner son esprit
« Si tu soignes ton esprit, si tu le nourris et si tu le cultives comme un jardin fertile et riche, il produira des fleurs bien au-delà de tes attentes. Mais si tu laisses les mauvaises herbes s’installer, la paix de l’esprit et la profonde harmonie intérieure t’échapperont toujours. »
En effet, nous pouvons voir l’esprit comme un jardin dans lequel on y sème des graines. Mais quels genres de graines arrosons-nous à longueur de journée? Les graines des pensées négatives ou les graines des pensées positives? Regarder où nous mettons notre attention est indispensable si nous souhaitons être plus heureux.
« Pour vivre pleinement, tu dois monter la garde à la porte de ton jardin et ne laisser pénétrer que les meilleures informations. Tu ne peux vraiment pas te permettre le luxe d’une pensée négative. »
3) Le vrai monde n’existe pas
« Il n’y a pas d’absolu. » Tout est question de conditionnement et n’est qu’une question d’interprétation. Dans un même ordre d’idée, tout échec est une occasion, «de mûrir, d’apprendre et d’avancer sur la voie de la maîtrise de soi ».
Il s’agit de « trouver l’élément positif dans chaque circonstance », ne pas juger les « événements comme négatifs ou positifs mais simplement en faire l’expérience, les célébrer et en retirer les leçons. »
D’ailleurs un des présupposés de la PNL qui m’aide beaucoup est « il n’y a pas d’échec, il n’y a que du feedback« .
4) Votre volonté est plus importante que votre intelligence
« La persévérance est mère de toute transformation personnelle. »
5) Vivre dans la gloire de son imagination, et non pas de la mémoire
Car « les choses sont crées deux fois: premièrement, dans l’atelier de ton esprit, et ensuite, dans la réalité. »
« Commence à penser à tes rêves pour changer, comme lorsque tu étais enfant. » Puis écris les car « les mots sont la concrétisation verbale du pouvoir».
6) Les seules limites de ta vie sont celles que tu lui donnes
« Commence à prendre des risques »
Pour avoir confiance en vous, apprenez à être confortable avec l’inconfortable. Visez grand mais commencez petit. Régulièrement, exercez-vous à faire des choses qui vous sortent légèrement de votre zone de confort.
« La peur n’est rien d’autre qu’un monstre mental que tu as créé, un monologue intérieur ».
7) La concentration est à la source de la maîtrise mentale
« Pour libérer le pouvoir de ton esprit, tu dois d’abord apprendre à le canaliser et à le diriger uniquement vers la tâche qui l’occupe. » Vivre dans le présent, être totalement à ce que l’on fait, pour qu’il n’y ait pas de déperdition d’énergie. « Ou bien tu contrôles ton esprit, ou bien c’est lui qui te contrôle ».
9 ) Prendre le temps chaque jour de contempler sa vie.
En pratiquant la pleine conscience, c’est à dire en observant ce que qui est sans attente et sans jugement, nous nous ouvrons peu à peu à l’extraordinaire de l’ordinaire. pour commencer, essayez de pratiquer le STOP 3 fois par jour.
10) Méditer chaque jour, dans le silence et l’immobilité.
Vous pouvez télécharger mon petit guide pour commencer et écouter mes méditations guidées sur ma chaine Youtube ou télécharger gratuitement mon application, « Méditer avec LGP ».
11) La qualité de votre vie est déterminée par la qualité de vos pensées.
Robin Sharma recommande de pratiquer la pensée opposée ou dite alternative car « l’esprit ne peut saisir qu’une seule pensée à la fois ». « Quand une pensée indésirable occupe le point central de ton esprit, tu la remplaces immédiatement par une pensée désirable. »
« Si tu veux vivre pleinement ta vie, surveille tes pensées comme s’il s’agissait de tes biens les plus précieux. »
12) Rivalise avec toi-même.
«Être supérieur à une autre personne n’a rien de noble. La vraie noblesse est de devenir supérieur à celui que vous étiez. ».
Rien ne sert de se tromper de rêve et de s’emparer de celui des autres. Prenez garde aussi à la comparaison, elle est un poison à notre confiance et notre estime de nous. Nous sommes tous uniques et différents, nous avons tous notre place, alors évitons d’être la pâle copie de quelqu’un d’autre et concentrons-nous à faire briller notre propre lumière.
13) Découvre ce qui te rend heureux.
« Tu ne pourras jamais atteindre une cible que tu ne vois pas » il faut donc donner un but à sa vie et les écrire noir sur blanc.
« Des priorités et des buts clairement définis pour chaque aspect de ta vie joueront le rôle de phare, ils t’offriront une orientation et un refuge quand la mer est déchaînée. »
« Le bonheur durable vient lorsqu’on travaille régulièrement en vue d’accomplir ses objectifs et que l’on avance avec confiance dans la direction des buts de sa vie. »
14) La constance dans l’accomplissement est le secret du succès.
Un pas à la fois. Comme dirait Confucius, « un voyage de mille lieues commence par un premier pas ». Même si vos rêves peuvent être grands, commencez déjà par initier le premier pas. Quelle est la première petite chose à faire pour aller dans le sens de votre but?
15) Apprend à te connaître et à bien te connaître.
« Ne fais jamais quelque chose parce que tu dois le faire, assure-toi que tu t’amuses en avançant vers ton but ».
Ce n’est pas pour rien que j’ai choisi le slogan « vivons avec courage, sagesse et humour ». Le sens de l’humour et de l’auto-dérision est selon moi, une grande marque de sagesse. Savoir rire de soi et de ses erreurs est une clé essentielle pour ouvrir la porte de la voie du guerrier pacifique.
17) Ne regrette jamais le passé.
Le passé n’est plus, le futur n’est pas encore, le présent est un cadeau, d’ailleurs c’est pour ça qu’il s’appelle le présent! Une erreur est un échec si vous ne retenez pas la leçon ou si vous reproduisez les mêmes erreurs. Sinon, ça s’appelle un feedback, ou une expérience. Ce sont elles qui nous font grandir.
18) « Nul homme n’est libre s’il n’est maître de lui même. » Épictète
« Quand tu prends le temps de renforcer ta volonté, ta discipline, ton énergie, ton optimisme, tu peux obtenir et faire tout ce que tu veux dans ton monde extérieur. »
« La liberté est comme une maison, on la construit brique par brique ».
19) Forge-toi une discipline personnelle
« L‘autodiscipline te donnera les réserves mentales nécessaires pour te préserver quand la vie te fera un de ses petits-croche pieds ».
« Quand tu auras acquis la maîtrise de toi et la discipline, tu éprouveras un extraordinaire sentiment de liberté. »
« Trop de gens sont esclaves de leurs impulsions. »
« Développer ta volonté pourra éliminer l’habitude de t’inquiéter. »
20) Choisis ce qui est juste, et non pas ce qui est pressant.
D’ailleurs, j’aime la citation qui dit : »Plutôt que de prendre mon mal en patience, je préfère prendre mon bien-être en urgence ».
21) La qualité de ta vie dépendra de la qualité de ta contribution à la société.
Je ne sais pas quelle est votre opinion sur celle-là mais pour ma part, le fait de me sentir utile à d’autres personnes me permet de me sentir plus heureuse. Je crois que le fait de contribuer, d’aider ou de se sentir utile, peu importe la manière dont on le fait, contribue largement à notre bonheur.
Mai-Lan Ripoche
Librement inspiré et adapté du blog http://penseezen.blogspot.fr/
***
Pour atteindre vos objectifs et passer à l’action, pensez au coaching individuel
5 clés pour mieux se comprendre, communiquer et prendre soin de soi et des autres
Selon Gary Chapman, conseiller conjugal américain, il existerait 5 langages de l’amour.
Si on est réceptif à tous les langages, nous avons souvent un ou deux langages qui prédominent et qui n’est pas forcément celui de l’autre !
C’est pour cette raison que nous rencontrons parfois des incompréhensions, ou qu’on se sent « mal aimé ». C’est parce que nous utilisons 2 langues différentes pour exprimer la même chose!
Dans une relation, il est donc important de comprendre son propre langage de l’amour et celui de l’autrepour pouvoir donner et recevoir de la manière qui nous satisfasse le plus et qui satisfasse l’autre tout autant!
Connaître le langage privilégié de l’autre permet ainsi de percevoir ses preuves d’amour, et communiquer sur notre langage préféré permet de recevoir plus de preuves d’amour.
Ainsi, nous obtenons une meilleure communication et moins de frustrations !
Art-mella illustre les 5 manières d’exprimer son amour définies par Gary Chapman:
1. Les paroles valorisantes
Elles peuvent être de divers types:
Paroles d’encouragement
Compliments
Mots gentils
Ca me rappelle une relation à laquelle j’avais mis fin il y a plusieurs années car je trouvais que mon petit ami ne me « démontrait pas assez » son amour. A l’époque je disais que « j’avais besoin de l’entendre me le dire ». En fait j’avais besoin de « paroles encourageantes ». Avec le recul, je me rends compte que son langage préféré était celui des « cadeaux ». Bien entendu, ce n’était pas la seule raison de notre séparation mais si j’avais eu ces éléments, j’aurais été peut-être moins exigeante et j’aurais pu mieux formuler mon besoin, et mieux apprécier ses gestes 😉
2. Les cadeaux
Offrir un cadeau permet à l’autre de penser à vous à chaque fois qu’il le verra.
Quand j’étais petite, ma maman nous faisait de temps en temps des « surprises », elle aimait nous faire des cadeaux sans forcément attendre un événement particulier comme notre anniversaire ou Noël. Ce n’était pas des gros cadeaux dans le sens monétaire du terme mais finalement ces « gestes » ont beaucoup plus de valeur à mes yeux que les cadeaux que je « commande » pour mon anniversaire ou Noël. D’ailleurs pour ces cadeaux « commandés », je ne me souviens souvent plus de ce que j’ai eu, alors que lorsque le cadeau vient d’une réelle intention de me faire plaisir de la part de l’autre et qu’il l’a choisi ce cadeau en pensant à moi, je m’en souviens beaucoup mieux!
Comme on dit, c’est l’intention qui compte!
3. Les services rendus
Cela consiste tout simplement à servir l’autre, en faisant des actions pour lui simplifier la vie, cela peut être des petits services au quotidien comme des actions plus « extraordinaires ».
Mon compagnon par exemple me recoud les trous de mes vêtements (je ne suis pas manuelle) ou me fait mes ourlets, et parfois me repassent même mes affaires, tandis que je prépare la majorité des repas.
4. Les moments de qualité
Ce sont ces petits moments privilégiés, en tête à tête, que ce soit pour discuter ou pour partager une expérience. Chacun arrête le temps, stoppe ses activités du moment pour profiter à 2 d’un bon moment.
Par exemple : une balade en forêt, partager une activité commune, un restaurant en tête à tête…
5. Le toucher physique
Le toucher physique comprend tous les gestes d’affection : se tenir la main, enlacer l’autre, le caresser, le masser … Nous sommes plus ou moins tactiles et accueillons avec plus ou moins d’intérêt les signes d’affection, pour certaines personnes, prendre quelqu’un dans ses bras est banal, pour d’autres cela représente un effort surhumain, il faut savoir « graduer » ces gestes d’affection.
Enfin, il faut savoir aussi que 1/4 des personnes ne communiquent pas le même langage de l’amour que celui qu’ils aiment recevoir. Peut-être que vous préférez recevoir des paroles valorisantes, mais que vous allez plutôt offrir des cadeaux pour exprimer votre amour.
Voilà donc les langages de l’amour, il ne vous reste plus qu’à déterminer à quel langage vous êtes plus réceptif et surtout … à le faire savoir !
Et pour soi-même?
Art Mella a magnifiquement résumé les 5 langages de l’amour pour soi-même! Et oui, commençons à nourrir l’estime de soi nous-même au risque de « mendier » de l’amour aux autres.
Dites-moi en commentaires comment vous voulez vous donner plus d’amour? Quelles actions allez-vous mettre en place concrètement?
Dans cette interview, Eliane Régis, formatrice en Communication NonViolente nous explique comment dire non et comment recevoir un non.
Comédienne, metteure en scène et professeure de théâtre pendant plus de 25 ans, elle a également exercé également pendant une trentaine d’années dans la formation continue en entreprises.
Elle aime explorer les liens de la CNV avec le corps, le jeu, l’improvisation notamment lors de stages afin de favoriser l’apprentissage et l’intégration du processus CNV.
Elle pratique depuis 1998 la Pleine Conscience, selon les enseignements du Maître Zen Vietnamien Thich Nhat Hanh , cet art de vivre pleinement l’instant présent, dans l’accueil de ce qui est.
Elle est reconnue comme enseignante par ce maître, depuis 2012, pour partager les pratiques de pleine conscience qu’il transmet.
Les 3 pratiques : Le théâtre, la CNV et la Pleine conscience sont, pour elle, un chemin de Vie et de liberté.
J’aime beaucoup aussi le blog http://cnv-apprentiegirafe.blogspot.fr/ qui illustre magnifiquement l’enseignement de la CNV, voici celui concernant le NON.
Pensez à partager et à commenter cet article!
Et pour mettre en pratique et oser s’affirmer, pensez au coaching individuel en me contactant à mailan@mailanripoche.com
1. J’accepte complètement et sans aucune arrière pensée que tout ce qui s’est produit dans ma vie, et ce qui arrive en ce moment dans mon existence, et tout ce qui peut se produire dans l’avenir me fournit des occasions précieuses pour apprendre et grandir.
Personne d’autre n’est à blâmer pour la négativité ou la douleur dont ma nature émotionnelle fait l’expérience.
Je ne chercherai aucune exception à cette croyance, même quand la cause apparente de mon problème est totalement indépendante de moi.
2. Je chercherai à toujours assumer entièrement ma responsabilité, tout en refusant la culpabilité.
Plutôt que de chercher des excuses pour ce qui marche mal, je m’efforcerai de comprendre ce qui se passe, puis chercherai des moyens pour corriger la situation.
J’assume la responsabilité entière de mes choix.
J’affirme que nulle personne ou situation ne peut me faire sentir inférieur(e), rejeté(e), inadéquat(e) sans mon consentement, et que j’ai le libre choix de donner ou de refuser ce consentement.
3. Je refuse la croyance au hasard, qui est un des principaux mécanismes de déresponsabilisation dans notre culture.
Je suis conscient que je crée ma propre réalité par ma façon d’accueillir et d’interpréter les événements de la vie.
Je chercherai systématiquement les moyens et les solutions plutôt que les excuses et les refuges.
Je choisirai l’ouverture et le risque plutôt que la passivité et la sécurité.
4. Je choisis de me respecter totalement, en toutes circonstances, quelles que soient les erreurs que je puisse commettre, et d’accorder ce même respect à toute forme de vie – humaine, animale ou végétale – que je rencontre.
5. Je dis OUI à la vie, OUI, OUI et encore OUI.
(Source : Extrait du livre « Plus jamais victime » de Pierre Pradervand)
Une vraie déclaration de guerrier pacifique! Engagez-vous à respecter cette déclaration? Y a t-il des points plus difficiles pour vous? qu’en pensez-vous?
Dites-le moi en commentaires et partagez sans compter!
Vivons notre vie avec courage, sagesse et humour!
Mai-Lan Ripoche
***
Envie de reprendre le contrôle de votre vie? Pensez au coaching individuel.
Mythe 1 – La pensée positive permet d’accroître la confiance en soi
On croit souvent que la confiance en soi vient du mental, d’une disposition d’esprit. Qu’il suffit de se réciter des phrases telles que « j’ai confiance en moi en toutes circonstances », autrement dit de pratiquer la pensée positive pour avoir plus confiance en soi.
Je connais des personnes qui écoutent des phrases de motivation et d’inspiration toute la journée, récitent des mantras et dont le niveau de confiance en soi est toujours au « raz les pâquerettes » !
Des chercheurs canadiens ont montré qu’avoir recours à la pensée positive peut avoir un effet bénéfique lorsqu’on a déjà une bonne estime de soi. Mais si ce n’est pas le cas, l’autosuggestion pourrait même aggraver l’état d’esprit dans lequel on se trouve.
En effet, les personnes ayant une faible estime d’elles-mêmes pensent qu’elles ne valent pas grand-chose quand elles constatent que la pensée positive ne marche pas pour elles.
Mythe 2 – La confiance en soi est déterminée par notre passé
Ce n’est pas notre passé, mais plutôt la perception de notre passé qui va affecter notre confiance en nous. Si c’était vraiment le passé qui déterminait notre niveau de confiance en nous, comment se fait-il que des personnes qui ont eu un passé difficile soient aujourd’hui des personnes épanouies et confiantes ? Nous connaissons tous au moins une personne dans ce cas-là.
À chaque fois que nous repensons à notre passé et que nous nous percevons en tant que victime, nous renforçons notre croyance qu’il est normal de manquer de confiance en nous. Je suis d’accord avec le fait que certains épisodes de notre vie ont été difficiles et c’est important de les reconnaître comme tels. Mais si nous nous enfermons dans le statut de victime, on se déresponsabilise de notre capacité à prendre les choses en main, à faire un travail sur soi et à revisiter nos croyances.
Le manque de confiance en soi est donc une croyance limitante. On ne peut pas transformer le passé. Il est ce qu’il est. Mais on peut se libérer des histoires et des croyances que l’on se raconte à propos de notre passé.
D’ailleurs, l’un des signes qui nous indiquent que l’on a fait la paix avec notre passé, c’est le sentiment de gratitude que l’on ressent lorsque l’on repense à tout ce que l’on a pu vivre. Quand je parle de gratitude, je ne dis pas qu’il faille absolument considérer que nous avons eu de la chance d’en avoir « bavé », mais plutôt de voir nos épreuves et nos difficultés comme quelque chose qui nous a permis (ou peut nous permettre) de révéler une force en nous et des ressources insoupçonnées.
Mythe 3 – Le regard des autres n’est pas important
Ce troisième mythe fait écho à ma vidéo « Comment moins se préoccuper du regard des autres ? ».
L’être humain est un animal social et à moins de vivre isolé dans la nature, le regard des autres nous touche.
On entend souvent dire qu’il suffit d’être soi, et que l’on ne doit pas se soucier du regard des autres. Certaines personnes affirment haut et fort qu’elles ne prêtent aucune attention à ce que l’on peut penser d’elle. En effet, il est plus sage de ne pas réagir excessivement aux critiques, tout comme aux compliments d’ailleurs !
Mais ignorer le fait que le regard des autres nous touche, c’est non seulement se mentir à soi-même, mais c’est également passer à côté de nombreuses opportunités d’accomplissement personnel car il nous permet aussi de mieux nous connaître.
Mai-Lan Ripoche
(Inspiré et adapté du site http://pratiquer-la-meditation.com/mythes-confiance-en-soi)
***
Pour aller plus loin: si vous souhaitez gagner en confiance en vous et en estime de vous, pensez au coaching individuel. Pour me contacter : mailan@mailanripoche.com